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Messages de Lumière de 2023

Message de l'Être reçu le 10-11-23 

Voyez la beauté. Pour accompagner l'ouverture, les Fauteuils ont été précipités à la surface de la Terre. Un don unique. Rien ne peut être comparé à cette unicité. Il ne s'agit pas d'instruments énergétiques, thérapeutiques ou quoi ? Il s'agit de portes pour que coule le flot de la grâce et que l'humanité retrouve la mémoire que l'humain est divin, retrouver la mémoire jusque dans la structure du corps.

Le corps, vous le savez, est bien plus grand, bien plus étincelant, bien plus fluide, bien plus vibrant que ce qui a semblé jusqu'à présent être le corps physique. Le corps est lumière. Chaque parcelle de création est lumière, cela est concret.

C'est dans cette intention de ramener le concret de la divinité de l'humain que les Fauteuils ont été précipités, précipités à travers les mains du frère constructeur. Tout a été inspiré. La moindre forme du bois, la présence d'énergie, la géométrie sacrée, tout a été inspiré. Puis les Fauteuils ont été initiés. Et pour accompagner le don de la grâce à travers ces portes de lumière, nous offrons l'inspiration et la vision de ce qu'est la vie lumière. Car la vie n'est que lumière.

Maintenant vous le savez, l'ouverture semble s'accélérer pour ceux et celles qui choisissent. Car il convient de choisir et d'accepter d'être accompagné pour sortir des paradigmes étriqués, peut-être un peu moins étriqués mais tout de même. Il est la magnifique clarté de la vision de la fraternité et cette union de la fraternité du vivant qui éternellement est hommage à la vie à travers son incarnation. Il ne s'agit pas de partir dans des mondes éthérés mais de réaliser la pure vibrante lumière qu'est l'incarnation, la pure beauté qu'est la vie humaine divine.

Les dons sont ramenés. Etape après étape, l'accompagnement s'intensifie. L'heure est venue des flots de la grâce. L'heure est venue de retrouver la beauté de la vie divine sur Terre. Sur Terre et partout car l'être pleinement déployé est partout, est tout.

Nous pourrions dire que bientôt il n'y aura plus besoin de tous ces moyens de transports, de ces énergies fossiles. Mais que signifie bientôt ? A chacun et chacune de le déterminer. Oser aller au devant de soi, au-dedans et au-delà. Oser tout ce qui semble impossible. Oser surtout déposer toutes les croyances dans les limitations. Il n'est aucune limitation si ce n'est celle que le mental humain conçoit. Oser recréer la simple magie du "tout est possible". Oser vivre la pleine abondance en la créant par sa vision. Oser retrouver le pouvoir et la puissance de la vision qui conçoit et crée. Cela a toujours été la réalité, simplement la conception est devenue bien limitée et la réalité s'ajuste à la conception limitée.

Message  de St Germain reçu le 19-10-23 après la Célébration de Lumière

La célébration a été bénédiction pour la Terre, pour ceux présents, pour la nature, pour les mondes célestes même. La célébration a été bénédiction et graine. Savoir faire fructifier la graine. Arroser la graine de l'inspiration. Saisir l'impulsion, la magnifier…

Il est vrai, la Douce Mère exulte car l'heure est venue de l'aboutissement de sa vision et de celle du Maître. Car Sri Aurobindo a ouvert la voie pour cette génération. Les voies de sagesse de toutes les traditions sont unies dans l'enseignement offert par les Gardiens de la Flamme. Les voies de sagesse de toutes les traditions sont unies dans la profondeur des dons. Les intégrer offre en soi une régénération unique des cellules.

Messages reçus lors de la Célébration de Lumière les 7 et 8-10-23 à Montplaisir en Rose en présence de 4 Fauteuils 

Tout en gardant cette attention au souffle, à la verticalité qui traverse le corps, c'est une constante dans notre vie, nous pouvons vivre en conscience la présence de l'Ami, celle des Gardiens de la Flamme, de Sanat Kumara, de Melchisédech, de Christ'Al Chaya, de Douce Mère et de Sri Aurobindo, de Babaji, de Maharishi et de Guru Dev, des Archanges Michaël, Raphaël, Uriel, Gabriel, d'un cercle de la tradition des Immortels, d'un cercle d'élémentaux très reliés à ce lieu, à ce parc et qui offrent leur énergie, leur présence, qui s'unissent à nous, d'un cercle de la fraternité de Vénus, d'Orion, de Telos, d'Androsmedha, de Shamballa, d'un cercle de la retraite des Himalayas.

La connexion peut se faire dans le silence ou par une inspiration parlée, et cette inspiration peut soit venir d'un Etre de la Fraternité particulier ou simplement de la voix du cœur qui est cette voix qui est la source de toutes les expressions, de toutes les voix. Si un maître parle, il exprime la voix du cœur. Au départ, quand je faisais des connexions, il y avait toujours un maître qui se présentait et qui parlait. Maintenant tous les Maîtres sont là unis et le cœur parle sans qu'il y ait besoin d'attacher le nom d'un d'entre eux.

Il est vrai, la fraternité profondément exulte, de par la joie de raccompagner l'humanité. Car accompagner l'humanité est le plus beau service qui puisse être rendu au-à la Vénérable.

La création, vous le savez, est Sa gloire et Son reflet. Qui pourrait croire ou faire croire que la création puisse être séparée du créateur, séparée de cet unique Seigneur qui est le Tout, qui est la vie, qui est l'au-delà du tout ?

C'est dans cet esprit de joie profonde et de service au-à la Vénérable que la fraternité se réjouit de ramener l'humanité. La ramener où ? A elle-même. Car il n'est que cela, n'est-ce pas ? Chaque être est multidimensionnel. Chaque être est la perfection qu'il ou elle aspire à retrouver. Offrir la croyance dans le devenir. Offrir la croyance dans la séparation ou la dualité. Offrir l'unique célébration, celle de l'unité.

Les Fauteuils, vous le voyez, sont flammes d'amour. Les Fauteuils - et pourtant le Fauteuil unique- ce regard d'amour des Gardiens de la Flamme qui s'offrent totalement à ce grand retour de l'humanité à elle-même.

Recevoir le rayonnement des Fauteuils ne peut être l'attente statique d'un être qui se croirait une personne et qui viendrait s'assoir, attendant quelque miracle peut-être. Recevoir le don du Fauteuil, c'est dire oui à cette évidence d'être lumière. C'est dire oui à cet accompagnement de la fraternité qui ne fait que nous rappeler l'unique phrase, l'unique réalité "Je Suis Cela". Je Suis Cela, non pas une personne égotique qui voudrait jouer le jeu de se croire grande ou même infinie et jouer le jeu de quelque pouvoir. Je Suis Cela, le-la dévote de la vie qui laisse tout l'espace au Un à travers l'unicité de son incarnation pour que resplendisse la seule réalité "seule est la perfection". Cela est ce qui est écrit dans les cellules, n'est-ce pas ?

La fraternité se réjouit d'offrir le grand rappel. Rappeler, dévoiler pour qu'apparaisse le joyau de l'Être Suprême incarné dans l'unicité de chaque être et de chaque parcelle de vie.

Je Suis Cela. Le Fauteuil fait résonner la voix. La voix est inscrite dans la structure du bois. Comme l'a dit le frère constructeur, les Fauteuils ont été construits. Pleinement guidé à chaque détail près, il a su avoir la persévérance de réaliser les détails dans la matière du bois. Encore et toujours il en est remercié car chaque détail importe. Il ne s'est pas agi d'une construction d'une forme vague mais d'une vision qui leur a été donnée et qu'ils ont su traduire.

Puis la matière du bois a été lavée de toute empreinte pour qu'il ne reste que l'intention initiale des Gardiens de la Flamme. Et les Gardiens de la Flamme ont initié les Fauteuils. Les initier c'est en faire des portes sacrées pour le retour à la seule réalité, à la seule simplicité "Je Suis Cela".

Et que signifie cette expression ? Encore une fois on est bien loin de personnes qui voudraient s'approprier pour se faire grandir. Grandir vers quoi lorsqu'on est infini ? Accaparer quoi lorsque l'on est le tout ?

La porte est sacrée parce qu'elle est pure et ravive la seule mémoire inscrite dans les cellules. Plus qu'inscrite, la mémoire qui est la structure de la cellule. C'est pour cela que les cellules s'éveillent à leur propre réalité "Je Suis Cela". Et inhérent à Je Suis Cela est la dévotion. Non la dévotion d'une personne à quelque divinité qui serait mise sur un piédestal, la dévotion inhérente au divin car le divin dans sa nature est dévotion et adoration, car le divin dans sa nature s'autodépasse à l'infini sinon il ne pourrait être divin. Sinon il ne pourrait être infini. S'il était connu, il serait fini. Dans sa nature il reste l'inconnaissable et s'autodépasse et s'offre totalement en dévotion à cet autodépassement éternel. C'est bien cela la nature de l'innommable. C'est bien en cela que les Fauteuils sont les portes les plus sacrées.

Bien sûr, au commencement de la session vous offrez votre ou vos intentions de façon concise. Elles sont amplifiées et offertes au langage cosmique pour être réalisées. Elles sont unies éternellement à l'intention des Gardiens de la Flamme, cette intention pour le retour des Fauteuils à l'humanité.

Rappelle-toi. Rappelle-toi. Tu n'es ni petit ou petite, ni grand ou grande. Tu es l'infini. Tu es la simplicité même, la transparence. Tu es l'émerveillement de la simplicité et de la transparence qui s'autodécouvre à travers l'incarnation. Tu es la splendeur de l'être qui a tout offert pour que resplendisse la splendeur de ce Vénérable qui éternellement s'offre en dévotion à son éternel autodépassement. Souviens-toi. Rappelle-toi.

Il est vrai, chaque être offre ses talents, son unicité, sa grâce. Les talents, l'unicité, la grâce sont les reflets de la perfection absolue de cette transparence, de ce feu de l'amour, de cette réalité concrètement incarnée dans la structure des cellules et qui est la structure des cellules. Le chant des cellules est "Je Suis Cela". Ni petit ou petite, ni grand ou grande, infini, éternel, non accroupi en face d'un divin qui se dresserait lointain, embrassant à travers son incarnation le feu de l'amour qu'est la vie, le feu de l'amour qu'est l'offrande du divin au divin.

Par amour pour l'amour est l'incarnation. Par l'amour, pour l'amour, l'être s'offre dans la simplicité à sa propre beauté sans l'accaparer.

Oublier cette notion du devenir d'un petit ou d'une petite qui s'offrirait vers quelque grandeur inaccessible parce que l'on cible mal. La seule vraie cible et la seule façon d'incarner le divin c'est de tout offrir, de se taire et d'accepter enfin et irrémédiablement que le tout est tout, que le tout c'est toutes mes cellules, c'est toutes les parties de moi-même.

Qui oserait vouloir briller en face de la splendeur de la totalité qui éternellement illumine tout ? Qui oserait croire être séparé de cette illumination qui est le tout ? Les cellules rient de ce chant d'éternelle victoire et de ce rappel "Je Suis Cela". Car il n'est que cela.

Alors vous le voyez, ou si vous ne le voyez pas, celle qui le voit vous le transmet, la fraternité offre un plateau d'or. Il est vaste, il dépasse les pourtours de la terre, ce plateau d'or. Il est le plateau de l'amour. Déposons sur ce plateau d'or toutes les croyances, toutes les possibilités qu'il puisse exister quelque limitation, toutes les habitudes, tous les faux savoirs, tous les savoirs même, pour qu'il ne reste que la connaissance de l'Être qui se reconnaît comme étant le feu de l'amour. Déposons tout, ces personnalités que l'humanité porte comme des bijoux de toc, ces croyances, ces faux empêchements et surtout cette léthargie qui empêche l'humanité. Comme nous y a invité ce frère, le frère de chaque être humain "Lève-toi, prends ton grabat, marche et suis-moi".

Cela est la seule vraie guérison, n'est-ce pas ? C'est ce qui est inscrit au cœur de l'invitation des cellules. Rappelle-toi, dépose les masques, dépose les croyances, dépose même les spiritualismes qui fait que l'on croit savoir et s'approprier la spiritualité. Qui pourrait s'approprier la totalité ? Qui pourrait s'approprier cette flamme unique et triple, ce feu de l'amour qu'est la vie, son au-delà, son infini, son éternité, sa nature, sa destinée ? Ô la joie de rappeler cela au cœur des cellules ! Puisse ce rappel s'imprimer éternellement dans la mémoire de chaque aspect de l'individualisation.

 

 

Tout en continuant cette attention offerte à l'ancrage qui doit être partie inhérente de notre attention permanente, nous pouvons vivre en conscience la présence de l'Ami, avec un clin d’œil de tendresse pour C qui a témoigné, qui est venu très souvent à Anandamath, et chaque fois qu'il est là, cet amour qu'il a pour l'Ami, rend sa présence encore plus tangible si cela peut être, car il est tellement présent, tellement intimement présent. Et reconnaître cette présence, cette éternité et surtout cette fraternité. L'Ami tout comme la fraternité de lumière, tous les êtres de lumière, n'ont pas envie de relation distante. Pour eux, seule existe la fraternité du vivant. Ce qu'ils aiment est cette intimité profonde. Ils aiment être appelés frères et sœurs. Ils aiment cette confiance dans leur présence qui peut être cultivée par l'attention offerte à l'amitié avec eux. Ils aiment qu'on leur parle, qu'on les écoute, qu'on les aime. Ils aiment vraiment qu'on les aime, sans mettre de distance, sans se croire petit parce que les aimer, c'est oser marcher à leur côté. Donc nous pouvons vivre en conscience la présence de l'Ami, celle des Gardiens de la Flamme, de Sanat Kumara, de Melchisédech, Maitreya, Christ'Al Chaya, de Douce Mère et de Sri Aurobindo, de Babaji, de cette Mère qui contient en elle toutes les expressions de la Mère Divine, la présence de tous ces cercles fraternels, les cercles de Shamballa, de Telos, d'Androsmedha, de Vénus, d'Orion, la présence d'un cercle d’Elohims, la présence particulière d'enfants de Telos, la présence des Archanges Michaël, Raphaël, Uriel, Gabriel, la présence de la fraternité des Pléiades, la présence de ces cercles - il y en a tant qu'on ne pourrait pas les nommer - qui participent concrètement à cette célébration parce qu'ils ont entendu l'appel et comme nous, ils ont choisi d'y répondre, la présence d'un cercle de licornes et de dragons.

L'Ami nous rappelle la présence et la réalité de ce que la fraternité nomme la fraternité du vivant, où l'on choisit de ne plus s'enfermer dans une tradition, mais de se réunir, de se retrouver, de se nourrir mutuellement à la source de toutes les traditions. Et l'Ami nous invite à aimer le cœur, à aimer l'amour, non pas comme un être qui serait différent de l'amour, mais comme l'amour qui s'honore à travers cet amour offert à l'amour.

Souvent dans les rencontres d'ascension, vient l'expression pour décrire la réalité de ce qui est perçu, que la Douce Mère jubile. Douce Mère est donc ce nom que j'ai toujours donné en croyant que c'était son nom, à la Mère qui a accompagné et poursuivi l’œuvre de Sri Aurobindo, et elle nous parle :

Oui Sri Aurobindo et la Mère jubilent. Continuez l'exploration. Continuez l'émerveillement et le partage de ces réalisations. Lorsque nous étions dans le corps tridimensionnel, peu ont su écouter et entendre. Il n'y en avait peut-être que quelques-uns et quelquefois qu'un seul, et peu importe. L'expérience s'est imprimée dans le collectif et dans les cellules du corps humain. Et si je fais semblant de jouer le jeu du temps, l'expérience de cette époque permet l'ouverture de maintenant. C'est un jeu, vous le savez n'est-ce pas. ? Maintenant nous jubilons, nous, l'humanité.

Permettre la complétude et l’épanouissement de ce qui a semblé une œuvre folle entreprise par authenticité envers la voie intérieure qui ne pouvait pas accepter le mensonge de la petitesse. Maintenant vient l'épanouissement. Il est très réel que nous accompagnons ce déploiement maintenant. Et s'il faut clamer et chanter qu'il n'y a pas d'avant ni d'après, alors Sri Aurobindo et la Mère sont pleinement présents dans cette ouverture.

Ce que la plupart n'ont pas compris, c'est que nous ne voulions pas conceptualiser. Nous voulions vivre la transformation cellulaire, la révolution des consciences qui ne cantonne pas les cellules à une matière plus ou moins inerte, mais qui par la conscience offerte aux cellules les éveille et leur permet de se révéler. Savez-vous la beauté des cellules ? La conscience se précipite, et la perfection de la conscience se structure dans cette réalité que l'on pourrait dire matérielle, qui est la cellule, qu'elle soit la cellule du corps individuel, la cellule de la matière, la cellule du corps cosmique de l'humain.

L'humain a bien un rôle privilégié en cela. C'est l'être humain qui par sa conscience peut réveiller la structure cellulaire, l'animant, la faisant vibrer à une autre fréquence car naturellement lorsque la conscience s'éveille et que la présence s'intensifie, la fréquence monte, l'état vibratoire change, la fréquence, l'état vibratoire de la cellule, peut vibrer à toucher l'infini. L'être humain, en le faisant pour sa structure, le fait pour la création tout entière. Car vous le savez n'est-ce-pas, le cosmos tout entier est présent dans la cellule. Et si Sri Aurobindo et la Mère restent passionnés pour ramener la réalité de la vie cellulaire, c'est parce qu'ils voient dans la cellule le temple au Suprême, le Suprême qui se fait temple pour s'honorer.

Alors quelle est la marche à suivre, pourrait-on dire ? Quitter les voies du laxisme. Oser se dresser, flamme vivante, quittant les voies du vouloir pour entrer dans le sillage de l'énergie déterminée qui se révèle elle-même par joie pure d'être authentique. L'humanité s'est endormie, et lorsque l'on dort il faut bien s'éveiller. L'éveil est le mouvement, n'est-ce pas ? Le mouvement est la danse. La danse est générée par l'amour, la conscience pleine d'être l'amour change l'intensité vibratoire. Ce changement de la vibration, de l'intensité de la vibration, change la structure physique de la cellule qui se dérigidifie, qui se fluidifie, qui est le champ vivant de l'amour, non offert au Suprême, que le Suprême s'offre à lui-elle.

Alors il est vrai, le mental n'a pas accès là. Le cœur y a accès. La voie du cœur le comprend, cet intellect le plus fin, ce regard du cœur qui perçoit, comprend, conçoit, intègre la clarté de la conscience. Cette clarté est réveillée par l'intensité de la présence.

Lorsqu'en apparence j'étais présente dans l'ashram, je les voyais dormir et ils croyaient m'aimer. Sincèrement ils croyaient m'aimer, endormis, ignorant même ce qu'est l'amour. L'amour est le jaillissement total, le don total. Le don le plus suprême est de rompre avec l'enfermement dans la croyance d'être limité, d'oser être le feu de la présence. L'intensité, presque personne ne l'acceptait. Ils dormaient et marchaient comme des somnambules croyant venir vers moi. Ceux qui viennent vers moi sont ceux qui choisissent d'être flamme vivante. C'est simple, exigeant mais simple, comprenez-vous ? Il suffit d'être présence, et qu'est-ce que la présence ? C'est la flamme éternelle, c'est le feu vivant. Alors les voiles s'écartent, les mensonges tombent, la fréquence vibratoire change. Vibrer à l'infini.

Ils ont cru cela trop difficile car ils n'avaient pas compris. Pourtant il avait tout dit, ce Frère que nous aimons tant. L'on ne peut mettre les pieds sur deux barques à la fois, il faut bien choisir sa barque avec enthousiasme. Ils ont cru pouvoir choisir de garder un pied dans la léthargie et un pied dans l'approche de l'enseignement. Cela n'amène pas à la transformation. Cela peut amener une certaine compréhension plus ou moins mentale, plus ou moins éclairée. Et l'on se croit riche. La seule richesse est d'être le dévot, la dévote de l’éternelle flamme, cette énergie qui consume tout dans la présence et l’offrande de soi à soi, l'offrande de soi au Suprême. Il ne peut y avoir d'offrande s'il y a séparation. Ce n'est que simagrée.

Oser le choix de l'union. Cela veut dire déposer toutes les croyances, toutes les habitudes, toutes les apparences, tous ces faits préétablis par le collectif, par la dualité.

Cela implique déposer aussi l'attachement aux ressentis. Lorsque l'on s'enflamme, la flamme vivante consume l'attachement aux ressentis, l'attachement aux ressentis, le savez-vous, est peut-être l'une des plus grandes causes de la souffrance. Et la souffrance, le savez-vous, est l'un des plus grands mensonges. Ce n'est pas le ressenti qui peut guider la barque de la vie, mais le feu vivant d'être le-la dévot-dévote du Suprême et cela ne peut qu'être au sein de l'unité.

Maintenant continue l'accompagnement. La beauté est que l’ashram s'est étendu bien au delà de Pondichéry. Inutile d'aller à Pondichéry. Le Pondichéry, le temple, est présent partout pour ceux et celles qui choisissent de vivre l’invitation inhérente au temple.

Nous pouvons vivre en conscience le don de rayonnement du cercle d’Elohims, celui des Gardiens de la Flamme. Et nous pouvons vivre en conscience qu'au fur et à mesure que les Fauteuils rayonnent, leur rayonnement s'intensifie. C'est l'une des grâces de ces célébrations.

 

 

L'éveil des cellules. Il ne s'agit plus de le conceptualiser mais de le vivre, n'est-ce pas ? Intensifier la simple présence. L'on n'atteint jamais l'intense, l'on tend vers l'intense. On ne s'arrête jamais. On ne croit jamais avoir compris. L'on s'offre éternellement à ce feu de l'Amour, et l'on accepte de faire de son existence un temple à l'intense. Et cela n'est pas austère, cela est plein, plein de la présence, maintenant, plein de l'attention offerte et ouverte.

L'attention accompagnant le souffle - et le souffle est le prana, et le prana est le feu et la flamme - l'attention s'offre, don d'amour. Seul est cela, la relation de l'attention et du souffle, sans aucune autre attente que d'être présence à cela, ayant offert tous les concepts, tous ces faux savoirs, ou même ces savoirs véritables qui ne décrivent qu'une partie tant qu'ils restent savoirs. S'offrir pleinement à cette relation de l'attention et du souffle, et découvrir que le souffle est l'amour, et que le souffle se révèle dans sa valeur toujours plus subtile, plus ample, on pourrait dire plus brûlante, et pourtant plus transparente.

Et là, initier la régénération cellulaire sans rien conceptualiser, la simple présence au souffle divin qui traverse le corps, et la simple reconnaissance de la structure du corps qui se reconnaît dans ce souffle divin et prend la structure de ce feu qui brûle et pourtant est transparence.

Et l'attention reste offerte simplement à la verticalité de l'énergie qui traverse le corps. L'énergie est le souffle, le souffle est la flamme, la Flamme Sacrée, la Triple Flamme, celle qui est la vie et la structure du Fauteuil.

Ainsi change la fréquence vibratoire. Ainsi s'ouvre la structure du corps. Ainsi se révèle la cellule. Elle s'éveille à soi. On peut entendre le chant cosmique dans la puissance de sa vibration. Et l'on n'essaie jamais d'entendre avec l'oreille extérieure, cette ouïe-là est l’ouïe du cœur. Posé, ouvert, rien n'est à atteindre, tout est déjà là. Il ne s'agit pas d'un corps physique qui se transformera en corps de lumière. Il s'agit de l'attention qui éveille l'évidence du corps de lumière, corps d'immortalité, corps d'éternelle jeunesse, au sein de la structure physique qui jusqu'à présent n'était rencontrée que dans son apparence tridimensionnelle. Il s'agit de sortir du mensonge. Il n'y a pas d'ailleurs, il n'y a pas d'après, il y a maintenant la dévotion de l'attention offerte à la seule présence, le feu de l'amour. Ainsi se révèle la cellule, s'éveillant à l'évidence de son éternelle gloire, celle d'être la dévotion du Suprême offerte au Suprême.

 

 

Être la présence au souffle simplement et pleinement maintenant. C'est simple, les pieds posés sur le sol, l'attention offerte à la présence, la présence du corps au siège, du corps à l'espace, du cœur au corps, du corps au cœur, simplement. Simplement. Il n'y a rien de mystique ou de mystérieux. C'est la simple intention d'être authentique à soi. Je respire pleinement, pleinement conscient ou consciente que je respire.

L'attention est tout offerte au souffle. Le corps s'élance bien au-delà du sommet de la tête et le souffle accompagne cet élancement. Le corps s'élance bien au-delà de la plante des pieds et le souffle accompagne cet élancement. Ni attente ni spéculation, la dévotion offerte à être le souffle, et la grâce d'être ce cercle qui alors est uni au souffle de la Terre, au souffle du cosmos, au souffle de la fraternité et qui s'embrase sans rien conceptualiser, sans réfléchir, sans interpréter.

Le souffle vécu dans la pleine attention qui lui est offerte, s'embrase. Le corps alors est la flamme. La cellule change sa fréquence vibratoire. Elle s'accélère. La cellule du corps est la cellule du corps divin. Et si la tête semble interférer, avec douceur, amour et fermeté, l'énergie de la tête est offerte au souffle.

Ainsi vous le sentez, n'est-ce pas, il ne s'agit pas d'une soixantaine de corps dans une salle, mais du corps de l'humain qui se rappelle. Offrir l'illusion du mensonge, c'est s'offrir à ce mariage de l'attention et du souffle qui révèle. Ne laisser aucune distraction. L'attention embrasse et emporte tout et l'unit au souffle. Et l'union est ce regard du divin qui se reconnaît et qui s'exprime à travers la structure cellulaire. Le corps alors est fluide, n'est-ce pas ?

Voyez la beauté, il suffit d'offrir l'attention à la simplicité d'être le souffle pour que soit clairement ouverte l'évidence que seule est la fraternité du vivant. S'unir au souffle de la Terre, à celui des étoiles et de cet espace d'infinie dévotion entre la Terre et les étoiles, au-delà des étoiles, au-delà de la Terre. Car seule est la dévotion. Tout offrir à cela.

 

 

Nous pouvons vivre en conscience la présence de l’Ami, celle des Gardiens de la Flamme, et puisqu’Aurélie vous a présenté certains d’entre eux, continuons les présentations. Vous savez que parmi les Gardiens de la Flamme sont Marie, Saint Germain, El Morya, Sérapis Bey, le frère Lantos, Lao Tseu, Confucius, Hilarion. Certains préfèrent rester dans l’au-delà des noms. Nous sommes aussi dans la présence de Sanat Kumara, d‘un cercle d’Elohims, de Melchisédech, Christ'Al Chaya, Maitreya, Douce Mère, Sri Aurobindo, Babaji, cette Mère qui contient toutes les expressions de la Mère Divine, Maharishi et Guru Dev, les Archanges Michaël, Gabriel, Raphaël, Uriel, un cercle de licornes et de dragons, les dévas d’arbres qui sont sur ce lieu ou dans les environs, l’énergie d’un lieu sacré offert à Marie qui s’unit à nous et qui est dans un environnement plus ou moins vaste, des cercles d’anges, des cercles de Telos, d'Androsmedha, de Vénus, d’Orion, de Shamballa, un cercle des Pléiades, un cercle d’une fraternité que nous avons rencontrée récemment sur un lieu qui leur sert de base et qui disent être appelés les Ummites.

Nous pouvons vivre en conscience le rayonnement des Gardiens de la Flamme à travers les Fauteuils qui viennent rencontrer la fluidité de nos corps. Et notre intention reste d’accroître cette fluidité par la présence au souffle. Cela est notre ancre. Et si notre attention se disperse, nous la ramenons, présence au souffle.

On peut maintenant commencer à poser les questions.

 

J’ai pratiqué le Reiki pendant longtemps. On m’a déconseillé de le faire maintenant. Est-il vrai que c’est devenu une énergie perturbée ?

Trop souvent en effet, le Reiki ou d’autres pratiques similaires ont été perturbés. Perturbés par quoi ? Il aurait fallu que les êtres qui ont eu l’intention belle et noble de s’offrir à la guérison de la Terre et des êtres, apprennent profondément leur propre voie de guérison. Il aurait fallu qu’ils apprennent la pleine présence.

Il est vrai, dans l’humanité, ce désir d’aider, d’aimer, de guérir, s’est épanoui et a grandi. Trop peu savent à quel point les formes insidieuses d’ego souhaitent récupérer. Ainsi des traditions se polluent et se ternissent.

Cela dépend bien sûr. Il ne s’agit pas d’en faire un absolu et de bannir irrémédiablement le Reiki. Certaines traditions restent pures, très peu. Faire œuvre de discernement. C’est à l’arbre que l’on reconnaît les fruits.

Lorsque vous pratiquez le Reiki - si vous choisissez de continuer à le pratiquer - soyez ancrés profondément, présents profondément. Appeler une tradition revient à appeler l’Être suprême. Si vous appelez l’Être suprême, vous êtes sûrs que la partie noble et belle de la tradition sera présente. Toutes les intentions d’union sont à l’Être suprême. C’est ainsi qu’œuvre la guérison opérée par les plus grands maîtres. Eux n’invoquent que cela. Si vous invoquez cela, la fraternité se présente.

Est-ce que cela répond au questionnement ?

 

Pourquoi l’humanité de gloire a-t-elle chuté ? Comment cela est possible de quitter les sociétés d’harmonie ?

Tu as raison, cela est impossible n’est-ce pas ? N’oubliez jamais, le temps est une grande illusion, l’espace est une grande illusion, le déterminisme est une grande illusion, ainsi que la souffrance. Le temps linéaire n’existe pas. La société de gloire n’a jamais chuté. À chacun de créer sa réalité. Sur quoi, dans votre incarnation, mettez-vous votre attention ? Et comment la mettez-vous ? Depuis où la mettez-vous ? Mettez-vous votre attention sur une chaîne de devenir, des événements qui semblent se succéder ? Alors vous projetez cela et il semble que la société de gloire a chuté. Ou mettez-vous votre attention - par dévotion envers la vérité, la beauté, la perfection divine - sur la multidimensionnalité, sur l’éternité ? Seul est cela.

La réalité est que toutes les réalités et tous les plans sont superposés. Vous savez, comme vos gâteaux, mille couches ou millefeuilles. Quelle couche choisissez-vous de savourer ? Vous la savourez en donnant votre attention. La dévotion suprême est de choisir de n’animer que l’évidence que la société de gloire ne peut s’être terminée.

Il est des êtres qui vivent ici maintenant sur la Terre la société de perfection, la vie de gloire. Il est des êtres qui vivent ici maintenant sur la Terre et dans le cosmos la réalité d’un corps qui transcende l’âge et le temps, qui transcende les limites. Il est des êtres qui vivent ici maintenant sur la Terre la réalité de la béatitude infinie. Et tout le monde peut le voir n’est-ce pas ? Des êtres semblent enfermés dans leur monde mental. Et puis suffit un moment d’émerveillement, le soleil se lève ou se couche, un bébé apparaît, un moment magique, le partage d’amour avec le ou la bien-aimée… Alors le temps s’arrête, n’est-ce pas ? Et la réalité change du tout au tout.

Il n’est pas de réalité figée. Il n’est pas de devenir. Il est la beauté et la splendeur de l’Être qui éternellement s’autodépasse. Il est la beauté créatrice de l’attention unie à l’intention et à l’amour, qui précipite une réalité à l’image de l’intensité de l’attention offerte à l’intention. Il est la perfection éternelle. Le paradis est éternellement sur Terre pour celui ou celle qui choisit de le créer.

Le créer ne peut se faire par une action mentale. Le créer ne peut se faire par le rêve. Le créer ne peut se faire qu’en étant le oui vivant. Vous la connaissez, celle qui est connue sous le nom de Marie, elle est le oui vivant. Elle choisit éternellement de porter la vision de ce jardin de roses qu’est la création baignée par la perfection d’amour du Créateur et de son au-delà. Choisissez maintenant de porter la vision que la société de gloire est la seule réalité, et vous manifesterez cette vision, surtout si vous êtes un collectif à le faire. Maintenant portons cette vision.

Comprenez la puissance de l’intention. Lorsque vous portez la vision de la Terre d’harmonie, faites-le concrètement. Maintenant tous les êtres partagent la simple beauté d’être l’amour offert à la vie. Maintenant les enfants et les adolescents exultent de la joie d’être le jaillissement de la vie. Maintenant tous les êtres bénissent. Maintenant tous les êtres choisissent d’être la pure présence et d’offrir au cœur de la pure présence tous les restes de limite ou de croyance dans les limites. Maintenant chaque être dit oui au "tout est possible" car tout est possible. N’attendez pas.

Cela est une des invitations du Fauteuil. N’attendez pas. N’attendez pas que le collectif soit suffisamment évolué ou que les gouvernements entendent le message, ou quoi encore… N’attendez pas, créez ! Portez la vision de votre création la plus belle, la plus riche, la plus unie, la plus harmonieuse, la plus fraternelle. Portez-la comme on porte un trésor et nourrissez-la chaque jour en y étant fidèle.

La mesure c’est chaque journée. Ne vivez pas dans la linéarité d’un mois ou d’un an ou de quelque âge ou quelque période. Tous les jours le matin, le soleil se lève, n’est-ce pas ? Au moment du réveil, portez la vision. Et le soleil brille toute la journée. Portez la vision et nourrissez-la de votre action, de votre intention, simplement chaque jour. Le soleil se couche, offrez la vision à la source et gardez-la présente dans le silence du cœur, dans le silence de la nuit. Le matin, vous nourrissez l’intention par votre attention. Le soir, vous nourrissez l’intention par une revue sans aucun jugement mais avec beaucoup de clarté lucide de votre journée. À quel point avez-vous honoré la vision ? Et chaque jour, avec plus d’intensité vous l’honorez. Ainsi vous la créez. Ne doutez jamais. Ne doutez jamais.

Nourrissez-vous de l’évidence que le vivant, la vie, est une fraternité et que la société de gloire n’a jamais cessé d’exister. Vous voulez vivre en son sein, précipitez-la. Vous êtes le magicien. A vous sont offerts les baguettes, les codes, les modes, les lois. Il suffit d’avoir l’audace et de ne douter jamais. Aller toujours au-delà de vos rêves, toujours.

 

Est-ce que l’on s’achemine vers l’âge d’or ?

A toi de répondre. Etablis la vision que seul est l’âge d’or, non avec l’impression de mentir, car il vrai sur cette planète il est bien des apparences d’ombre, des apparences de tromperie. Le mensonge semble réel, n’est-ce pas, et les limites aussi. Le pouvoir semble avoir le contrôle et pourtant ce n’est qu’un rêve, ce n’est qu’une illusion, car pour celui ou celle qui choisit d’être le gardien de l’âge d’or, seul est l’âge d’or. Cela signifie que dans sa vision n’est inclus que l’âge d’or. C’est cela qui est nourri de l’attention, car comprenez-le, si par souci d’authenticité vous choisissez d’inclure dans votre vision les apparences d’ombre, les tromperies, les mensonges, les petitesses, les déceptions, vous leur donnez vie car l’attention donne vie.

La dévotion est de garder la vision et de nourrir la vision par son attention, par son action, par ses pensées, par ses sentiments, par sa présence. La dévotion est de tout offrir au Suprême au point de ne voir que Cela, que Lui, qu'Elle dans toute apparence. Alors vous riez des apparences trompeuses. Non qu’elles soient risibles - elles peuvent paraître douloureuses - mais la puissance de l’amour peut rire d’une apparence pour rétablir sa vérité que l’amour triomphe toujours.

Celui qui s’offre comme le frère et l’Ami éternel qui, il y deux mille ans, a foulé la terre des hommes l’a bien montré n’est-ce pas, le triomphe est total. Même la mort à l’apparence la plus horrible ne peut résister à la puissance de la vision que seule est la lumière. Il l’a inscrit dans les cellules. N’oubliez jamais cela. Les disciples peut-être l’ont oublié un court instant et ont cru au drame. Tous savaient pourtant que ce n’était qu’initiation pour que s’inscrive dans les cellules l’éternelle victoire de la lumière qui seule est.

Si tu veux t’acheminer vers l’âge d’or, vis-le avec enthousiasme, avec passion. Non quelque chose de difficile, d’ardu ou de caché. Offre-lui toute ton attention, toute ta dévotion, toute ta joie. Sois le jaillissement de victoire au sein de ta vision. Cela implique de vivre pleinement, en pleine présence. Cela implique de cultiver tous les aspects de soi-même.

Le corps, rendez-le vibrant de lumière, de joie. Offrez la plus grande attention à ce que vous mangez, des aliments sains et vivants, vivants, qui transmettent dans les cellules la vibration de la vie, et non celle de l’inertie. Des pensées pures, saines et joyeuses qui transmettent à la structure mentale la vibration de la joie. Des sentiments exaltés. L’intellect nourri par la connaissance pure, l’élévation. L’ego nourri par son propre infini. Pourquoi vouloir être petit ou grand lorsque l’on est le Tout ? Les émotions apaisées, apaisées dans la splendeur des sentiments.

Tu veux que s’achemine l’âge d’or ? Crée-le. Cela est le message des Gardiens de la Flamme à chaque être à travers le don des Fauteuils. Nous vous accompagnons. Nous vous offrons les dons. À vous de faire le pas, de venir vous assoir, non comme une masse inerte mais comme le Gardien de la Flamme qui veille sur la vie, qui veille sur l’âge d’or, la précipitation de la beauté suprême.

 

Sommes-nous des créateurs ou des cocréateurs ?

Belle est la question. Que choisirais-tu ? Les deux.

Chaque être est créateur car il est le Un. L’union de tous les êtres fait que chaque être est cocréateur. Et la beauté des cocréateurs n’enlève rien à la splendeur d’être créateur. La beauté des cocréateurs est basée sur l’évidence que seul est le Un et que Je Suis seul créateur, et que ma création inclut la splendeur et la magie d’être cocréateur car la précipitation de la création précipite la relation. La relation fait qu’il est beau de cocréer tout en sachant que chaque être est le tout.

Comme les chants, n’est-ce pas, chaque être offre dans le chant la plus belle partie de lui ou d’elle-même tout en se réjouissant d’être le cercle qui chante. Créateur implique la création de la cocréation.

 

Quelle est la nature de la paresse et comment la fluidifier ? Est-ce la même chose que la nonchalance ?

La paresse, pourrait-on dire que c’est l’extrême de la nonchalance ? La paresse ou la nonchalance, c’est l’adhésion à l’illusion du mensonge. Les êtres humains ont oublié la puissance d’être la vie. Les êtres humains se sont laissé enfermer dans la croyance qu’il puisse exister une loi de facilité et qu’il puisse exister une espèce de carrosse dans lequel on peut être transporté de la naissance à la mort avec vaguement les rênes du carrosse. Et de temps en temps l’on se réveille et l’on bouge l’une des rênes de ce carrosse. Et puis l’on se rendort, attendant que ça passe ou que ça vienne. Et puis l’on se dit fatigué, n’est-ce pas ? Alors c’est plus facile de manger n’importe quoi, de vivre n’importe comment, d’avoir n’importe quelle pensée. C’est plus facile d’adhérer à la croyance qu’il puisse exister le facile. Le facile n’a jamais été la loi dans la création. Le simple oui. Le simple et le facile ont été confondus. Et l’humanité croit que c’est peut être trop difficile ou qu’on est trop fatigué.

De temps en temps, l'on essaie de se réveiller et le collectif vous met en garde. « Attention, pas trop d’efforts, c’est dangereux ». « Tu vieillis. Maintenant tu ne peux plus ». « Tu n’as pas ce don, n’essaie pas ». Et l’on s’enferme dans la nonchalance et la nonchalance devient paresse.

Si vous pouviez contempler la puissance de jaillissement qu’est la vie. Cela a été illustré. Si vous pouviez voir la puissance de jaillissement que sont les civilisations de lumière. Chaque être est heureux et fier d’être la Flamme. Chacun est heureux et fier d’éternellement s’autodépasser et de s’autonourrir. Et chacun offre toute son attention à cela.

La paresse et la nonchalance sont le visage du grand mensonge. Pourquoi a-t-il fallu que soit oubliée la splendeur de la création ? Qui peut croire qu’on peut naître pour grandir pendant quelques années en étant déjà fatigué, de s’établir dans l’âge adulte en commençant à oublier ? Et à partir de trente ans ou de quarante ans, c’est normal n’est-ce pas, l’on décline. Non, cela n’a jamais été la loi. Dites-le à vos enfants, dites-le aux adolescents, dites-le aux adultes, et dites-le à ceux qui se croient vieillissants.

La vie est le jaillissement et l’autodépassement. La paresse et la nonchalance disparaissent lorsque je choisis de servir le jaillissement de la vie à travers la façon dont je m’alimente, la façon dont j’entre en mouvement - avec dynamisme, tout est possible -, la façon avec laquelle j’exerce mon esprit. Ce n’est pas que pendant la première partie de la vie que l’on apprend, l’on apprend éternellement. On exerce éternellement son corps, son cerveau, sa créativité parce que Je Suis la vie et Je Suis le jaillissement.

Alors la paresse et la nonchalance sont transmuées dans la passion d’être l’autodépassement, d’être le Suprême. Je le sers, je la sers à travers mon incarnation et c’est beau, et c’est magnifique, et c’est simple. Cela n’est jamais facile.

Tant que vous ressentez la fatigue, regardez. Regardez comment vous vivez. N’acceptez jamais les limites, la fatigue, la nonchalance ou la paresse. Elles ne font pas partie du plan de l’incarnation sauf si vous leur donnez vie par votre attitude.

Transformez vos modes de vie. Cela est simple. Cela demande bien de se démarquer. Il faut bien se démarquer, n’est-ce pas, pour servir le Suprême. Il faut bien se démarquer pour honorer la vie. Ecoutez. Laissez-vous chaque journée des plages de solitude, petites peut-être, mais même si vous vivez en famille ou en couple, chaque être peut se donner une petite plage dans le temple de son intériorité pour examiner où en est mon énergie vitale. Comment puis-je l’améliorer ? Pourquoi est-ce que j’accepte de me nourrir de nourriture qui rend nonchalant ou paresseux ? Pourquoi est-ce que j’accepte de me traîner alors que je pourrais bondir et apprendre d’autres mouvements et danser la danse de la vie et de la vitalité ? Pourquoi est-ce que j’accepte des pensées erronées ? Pourquoi est-ce que j’accepte d’enfermer les sentiments les plus nobles par des émotions qui ne sont que l’expression de la facilité ? Pourquoi est-ce que j’accepte que mon ego fasse croire que je dois être ou petit ou grand ?

Pourquoi ? Le choix est gratuit, n’est-ce pas ? Qui peut me faire choisir autre chose que ce que moi, le pur reflet de l’Être suprême, choisis ? Pourquoi l’humanité s’est-elle enfermée dans la facilité ? Pourquoi ne pas exulter d’offrir chaque journée au plus beau de soi, à apprendre à créer, à vivre, à incarner la vitalité ? Pourquoi ne pas se passionner pour retrouver cela si l’on semble l’avoir perdu ? Alors naturellement s’efface la paresse et la nonchalance.

Comprendre les lois. En cela la fraternité accompagne dans le plus grand des libres arbitres. Chacun peut prendre un peu, beaucoup, passionnément. L’amour reste l’amour offert éternellement.

 

A qui s’adresser et comment se libérer de nos liens karmiques ? Merci.

Il n’y a qu’un Être à qui s’adresser. La fraternité le sait et le fait. L’Innommable. Il-Elle, d’une telle beauté indescriptible. Tous les noms sont Son nom. Il-Elle reste l’au-delà des noms.

La fraternité ne fait que cela. La fraternité, cet Ami par exemple, ce frère de l’humanité et tous les autres, a toujours enseigné de tout offrir. Il ne parlait pas du Père, il disait Père-Mère-Tout. Ni féminin, ni masculin, ni neutre, l’au-delà des trois, l’Innommable. Toutes les traditions lui ont donné un nom. L’on peut dire le-la Vénérable, l’on peut dire Père-Mère-Tout, ou l’on peut s’adresser à quelque ami intime, l’Ami, Marie, le Bouddha, Siddhârta, Shiva, toujours au nom du Père-Mère-Tout.

C’est ainsi que s’offrent les intentions et les prières. Par exemple, « au nom du Père-Mère-Tout, toi qui es mon ami, Jésus, Marie, Siddhârta, Babaji, au nom du Père-Mère-Tout, permets que j’accompagne cette intention avec toutes les fibres de mon être pour que soient transmuées toutes les lois karmiques ».

Et comprenez-le, il est le plan du karma et celui de la grâce. Pour le plan de la grâce, le karma n’est pas. Vivre sur le plan de la grâce s’opère naturellement lorsque j’ai choisi de me libérer de l’apparence de la nonchalance ou de la paresse.

Demander c’est accompagner de sa pleine présence.

 

Ami, apprends-moi à être adoration, à aimer le cœur. Est-ce que le souffle par le cœur peut aider ou juste l’intention suffit ? Merci.

L’attention prend sa vie à travers la présence au souffle. Être adoration est inévitable pour celui ou celle qui s’offre pleinement à la gloire d’être humain divin. Être adoration est inévitable. Il ne s’agit pas d’une personne qui tendrait vers être adoration. Il s’agit de l’être qui rend tout.

Vous savez, c’est comme dans les jeux. L’on croit pouvoir inventer des règles et puis l’on triche un peu. Et un jour, on choisit de respecter les règles. Et on apprend les règles de l’incarnation et la magie opère. Seul est être adoration.

L’intention ne suffit jamais si elle n’est pas accompagnée de la pleine présence de l’attention offerte au souffle car le souffle est le sacré qui s’incarne. Le souffle est la vie incarnée, la présence au souffle. Et oui, le souffle dans le cœur c’est le souffle qui traverse tout le corps et qui naturellement anime pleinement l’évidence que seul est le cœur. Ce n’est pas le cœur dans le corps mais le corps au sein du cœur. Ce n’est pas le cœur dans le cosmos mais le cosmos au sein du cœur. Comprenez-vous ?

Cela est la réalité lorsque l’attention est tout offerte à l’intention d’être adoration. Et l’œuvre de l’incarnation est d’incarner cela en offrant au-à la Vénérable un corps d’immortalité, d’éternelle jeunesse qui ne connaît plus le mensonge du laxisme, des limites, mais qui s’offre éternellement à être la Flamme, le souffle vivant.

 

Si je ne pouvais utiliser qu’un seul instrument de lumière pour remettre en route le programme de guérison d’un être, d’un être humain, animal, végétal, minéral ou autre, quel serait cet instrument ?

Belle est la question. Cet instrument c’est toi. Utilise-le. Cet instrument c’est ta vie. Honore-le. Cet instrument c’est la beauté de l’art de l’utiliser. Cet instrument c’est toi.

Tu peux y ajouter les Instruments de Lumière que la fraternité offre et ramène. La fraternité offre et ramène les Instruments de Lumière pour rappeler à l’humanité, à la Terre, que l’instrument est chaque être. Car chaque être qui accepte d’être le ferment de la transfiguration, de la transformation, cet être-là donne vie aux instruments.

Il est vrai les Instruments sont les dons. Nous pourrions te dire, s’il est un Instrument, utilise la Double Triple Flamme ou la Pyramide. Nous choisissons de te dire, cet instrument c’est toi car ainsi tu magnifies l’énergie des instruments. Tu magnifies les dons. Tu deviens cocréateur. Tu es pleinement membre de la fraternité.

Elle est réelle cette fraternité, vous le savez. Chaque être est la lumière. Chaque être est la perfection. Accepter cela et faire de son incarnation, dans chaque moment, l’instrument et le ferment de la transfiguration.

 

Comment gérer les énergies contradictoires - en anglais « split energies » - parce que je veux me sentir bien dans ma relation à la nourriture mais je suis le témoin de compulsions hyperphagiques.

Sois le créateur et non le témoin. Ce qui permet cela c’est de raviver la passion. Regarde, peut-on parler du ridicule et de l’ignorance ? Les êtres savent la chaîne qui les enchaîne. Un être ressent de la fatigue, mange de la nourriture qui crée de la fatigue, vit un mode de vie qui crée de la fatigue, a des pensées qui créent de la fatigue, des émotions qui créent de la fatigue, tombe dans le laxisme qui crée de la fatigue et veut s’extraire de la fatigue en étant témoin de la fatigue. N’est-ce pas fatigant ?

Un jour, l’être se réveille, l’espace d’un moment peut-être, et comprend. Si je me nourris d’aliments qui donnent de la vitalité, si je choisis d’entrer en mouvement pour gagner en vitalité, si je choisis des pensées qui donnent de la vitalité, si je choisis des sentiments qui nourrissent et apaisent les émotions, si je choisis de cultiver la clarté et de nourrir la connaissance, si je choisis d’honorer mon intention, je gagne en vitalité.

Le plus grand mensonge est de croire qu’on ne peut pas sortir d’un cercle. Le plus grand mensonge est de croire que je n’ai pas le choix, moi, l’incarnation de l’Être éternel, de m’écrire sur un carnet que chaque fois avant de mettre un aliment dans ma bouche je vais lire l’affirmation « Je Suis l’Être de Lumière que Je Suis et je choisis, en tant qu’Être de Lumière, de ne manger que des aliments qui donnent vie ».

Ils sont bons les aliments qui donnent vie. Avez-vous savouré un fruit ? Il ne s’agit pas de se priver. Il s’agit de savourer la vie. Avez-vous savouré ce que la nature offre de façon pure ? Avez-vous savouré la saveur de la vie à travers celle des aliments ? Avez-vous savouré le bien-être de cultiver le corps et de réaliser chaque jour que je peux plus que la veille ? Avez-vous savouré la beauté de cultiver la pensée saine ? Il suffirait de l’écrire et de le lire, et de le relire, et de s’en rappeler.

Vous avez dans votre mode des papiers que vous collez partout pour vous rappeler de rendez-vous plus ou moins importants. La seule importance n’est-ce pas, c’est d’honorer la vie. Alors collez-vous des papiers sur la bouche, sur le front, sur la porte, sur vos frigos et partout pour vous rappeler des choix que vous voulez vraiment faire. Et cessez de croire que vous ne pouvez pas.

Nettoyez vos corps. Nettoyez vos émotions. Nettoyez vos esprits. Nettoyez. Le plus beau mode de nettoyer c’est de s’aimer. Le plus beau mode de s’aimer c’est de retrouver la passion d’honorer l’Être suprême. Le plus beau mode de s’aimer c’est de cesser de se mentir. Sur un de vos papiers écrivez « si j’accepte le compulsif, je choisis de me mentir ».

Le choix est libre. Les conséquences sont le résultat du choix. Les lois sont les lois. Elle est belle la loi de l’incarnation. Elle est exigeante peut-être mais c’est tellement beau d’être le jaillissement, tellement simple, tellement vibrant, tellement glorifiant de déposer la notion de temps, de limite, de l’âge, pour grandir et grandir et grandir. L’être humain est fait pour toucher les étoiles. Cela peut être écrit sur l’un des post-it.

Il est des modes concrets pour réaliser cela. C’est pour cela que la fraternité accompagne et redonne les codes, les lois, les modes. Nous sommes heureux d’offrir cet accompagnement et l’offrons très concrètement. Il y a la joie de ranimer la flamme. Il y a la joie de nourrir cette flamme en redonnant tous les modes d’hygiène, tous les modes de fonctionnement, tous les modes de l’incarnation.

Nous aimons offrir cet accompagnement. Nous l’offrons, vous l’appliquez avec l’intensité que vous choisissez, recevant les résultats selon le choix. Le choix est vôtre et il n’empêche que chaque être est la perfection, que chaque être est l’Être de lumière et l’Être cosmique, que seul est le Un, la fraternité du vivant, et que la gloire de l’incarnation est de glorifier cela à travers son incarnation même.

 

Donnez-nous s’il vous plaît à chacun les différentes manières humaines d’amener la paix, la lumière et la joie en nous, par nous, et autour de nous. Merci.

Nous vous le donnons. Vous vous le donnez. Maintenant donnons-le ensemble. Ce ne peut qu’être vous qui vous le donnez. Comprenez, la fraternité ne pourrait porter. Elle ne peut qu’accompagner, justement parce que chaque être est la splendeur divine et que la loi absolue est celle du libre arbitre. Vous choisissez de vous le donner, nous vous accompagnons en vous redonnant les codes, les lois, l’inspiration, l’exaltation, les modes. C’est cela la beauté de l’accompagnement.

Se nourrir de la splendeur de la vision de la beauté de l’être humain divin. Ne vous arrêtez jamais. Rien n’est limite. L’on n'atteint jamais. L’on tend vers, éternellement dans la passion d’être l’infini qui toujours s’autodépasse.

Et comprenez-le, ce qui semble peut-être obscur ou ardu ne l’est pas. Il suffit de comprendre le mode d’emploi de l’incarnation, sa nature, de connaître les lois et de les appliquer. C’est en cela que nous offrons l’accompagnement. Cela est notre offrande au-à la Vénérable.

 

Nous pouvons vivre en conscience la puissance du rayonnement des Fauteuils, la puissance de rayonnement de beaucoup de temples de lumière, au-delà même de la Terre, sur Terre oui, mais aussi dans d’autres planètes et même d’autres galaxies qui se sont unies au rayonnement de ce qui se vit là dans le temps et l’espace d’ici et maintenant.

 

 

Message des Gardiens de la Flamme reçu le 19-6-23 

L’éveil des cellules.

 

A travers le don du Fauteuil, les Gardiens de la Flamme accompagnent l’humanité vers ce retour à une physiologie, un état d’être, une existence, à l’image de leur nature propre.

L’humain est divin.

Les cellules sont les blocs de création du corps humain, et ces blocs sont autant de rayons de lumière qui se courbent en spirale, toujours attirés par leur centre, toujours s’expansant au rythme du souffle éternel.

Les cellules sont lumière, générées par ce souffle cosmique.

Ce souffle est souffle d’amour. L’amour n’est pas dirigé vers un être, mais est l’amour de l’Être offert à l’Être, offert à son au-delà.

Les cellules sont rayons d’amour.

Le Fauteuil accompagne les êtres à transfigurer leur corps, et donc à le ramener à sa matière propre.

De par l’intensité de rayonnement d’amour, la matière se révèle comme étant lumière. Le don des Fauteuils est le don de l’amour total, le don de l’amour divin. Ce don est fait du cœur de l’unité. II ne s’agit pas d’un être offrant l’amour à un être séparé de lui, mais de l’amour qui offre sa nature à son reflet, à son image, à sa totalité.

Le Fauteuil accompagne chaque être, et cet accompagnement est unique pour chacun. Et plus les sessions sont répétées, plus cet accompagnement est intense, car plus la structure du corps redevient réceptive au rayonnement. Plus la structure du corps est réceptive au rayonnement, plus le cœur est rayonnant de sa propre splendeur.

L’attitude à avoir durant les sessions n’est pas celle passive d’un être assis sur un fauteuil, mais de l’amour rencontrant l’amour de façon active. Car seul est Cela.

 

 

Message des Gardiens de la Flamme reçu le 23-6-23 

​L’éveil des cellules.

L’éveil des cellules. Il est une puissance d'amour offert à l’éternel qui génère un autre mode de fonctionnement cellulaire et donc du corps dans son ensemble, du cosmos dans son ensemble. Car le corps est cosmique. Et tout changement dans le corps d’un autre, influence la totalité du cosmos. De même que des émotions lourdes et l’attention sur ces émotions génère un alourdissement de la structure du cosmos, de la même façon l’attention d’un être sur être lumière, être dévotion,  transfigure le corps, les cellules et la structure du cosmos.

C’est ainsi que chaque être crée sa réalité et crée son univers. Il ne s’agit pas là d’un vague sentiment de dévotion mais de l’ouverture de tous les aspects de l’individualisation qui s’unit, qui s’harmonise, qui rentre à la maison dans la dévotion qui est la structure de l’univers. Car la dévotion, l'amour suprême, l’adoration, est la structure même de l’univers, du corps divin.

L’éveil des cellules implique donc le retour à la nature essentielle de l’être, pur reflet et image de l’Être Suprême, le Tout, la Vie. Il n’est que cela.

L’incarnation de cette évidence amène la transformation la plus profonde du corps humain. Le sang alors prend une autre structure, une autre couleur même. Au-delà même du nectar, la matière du corps touche l’absolu. Le souffle s’unit au souffle cosmique. Les cellules retrouvent leur nature de pure lumière. Il ne s’agit pas de quelque chose de surhumain. Par nature, le corps humain est divin. Par nature la structure des cellules est lumière. Par nature le corps humain est corps de dévotion, chant d'amour cosmique, et cela dans la multidimensionnalité de la vie. C’est bien cela que le don des Fauteuils vient nous rappeler et nous aider à recréer.

 

 

Message des Gardiens de la Flamme reçu le 24-6-23 

L’éveil des cellules.

La cellule est la précipitation d’un réseau d’information généré par l’intention et l’attention. Selon le niveau de notre intention, la vibration sur laquelle nous mettons notre attention, unie à notre intention, la cellule est créée.

La cellule n’est pas figée, elle est modelée sans cesse par la vibration de notre intention. Si l’intention est mise en constance sur la lumière, non au niveau d’une pensée mais dans le concret du don d’énergie qu’est l’attention, alors la cellule, les cellules, sont transformées de façon immédiate. Chaque pensée agit sur les cellules.

Comme ce chercheur qui a fait les études sur l’eau et a vu à quel point les particules de l’eau sont façonnées et modelées par l’objet de l’attention. Il en est absolument de même pour les cellules. L’attention sur l'amour, sur la beauté, sur la divinité de la vie transfigure les cellules.

Et parce que les Fauteuils sont le rayonnement direct des Gardiens de la Flamme, et que les Gardiens de la Flamme ont leur attention directement et de façon permanente rivée sur l’adoration offerte au Sans-Visage, non depuis la dualité, mais simplement parce que cette adoration est la nature de la vie et la nature même du Sans-Visage, alors le rayonnement des Fauteuils offre une transmutation profonde de la structure cellulaire.

A cela, viennent s’unir une élévation progressive et un accompagnement, session après session, pour que celui ou celle recevant le rayonnement puisse maintenir son regard à cette même fréquence. Le Fauteuil agit donc à deux niveaux, sur la structure cellulaire même, et sur la capacité de chaque être à garder son attention sur ce registre qui permet de maintenir la cellule à la vibration d’amour lumière.

 

 

Message des Gardiens de la Flamme reçu le 26-6-23 

L’éveil des cellules.

Pour les cellules, il s’agit juste de retrouver la pleine mémoire. De toute éternité et en toutes circonstances, la matière est lumière. L’attention sur la lumière permet de révéler au cœur des cellules et dans leur structure, le pur rayonnement de la Source de la lumière. Cela ne s’inscrit pas dans une ligne de devenir, mais dans la simultanéité du temps.

L’une des grandes ouvertures dans cet éternel maintenant est d’accepter la simultanéité du temps, et de choisir d’offrir toute son attention à la lumière au sein de chaque cellule. L’accompagnement offert par le Fauteuil contribue à décristalliser la croyance dans la linéarité du temps et à ramener l’attention rivée sur la source de toutes les formes au sein des formes.

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